Biographie
Rémi Orain
Né au milieu des années 70 dans une petite ville bretonne où, à peu près au même moment, un témoin apercevait la Dame Blanche sur le parking du Prisunic (devenu Super U depuis), Rémi Orain a eu une vie bercée par l’imaginaire.
D’abord par les jeux de rôles, puis par les vroums vroums de Mad Max II, les dialogues précis et précieux d’Éric Rohmer, les western d’Howard Hawks et ceux, déguisés en films d’horreur, de Carpenter. Vint plus tard la littérature, de Jack Vance à Lovecraft, en passant par les acrobaties stylistiques d’un Céline ou d’un Echenoz.
Bref, cela fait beaucoup de grands écarts qui se retrouvent dans un parcours professionnel débuté par des études de droit, suivi d’une carrière de technicien cinéma et enfin un travail de libraire auprès d’une enseigne de la grande distribution (mais pas un Prisunic). Seule constante dans tout ça, un goût marqué pour l’écriture, l’imaginaire et son lieu de vie actuel où l’on aperçoit parfois des Dame Blanche.